Les lecteurs « historiques », ceux qui étaient
déjà là il y a un an quand j’ai commencé à travailler à ce blog le savent, au
moment des élections pour la succession d’Yves Touchard, j’ai beaucoup écrit sur l’avenir de Fargues.
Fargues a de nombreux atouts. Sa situation géographique, sur
une rive droite qui attire de plus en plus, au milieu de la Communauté de Communes
(Cdc), avec une offre de services de qualité qui va du dynamisme de ses
commerçants à la diversité de ses professions libérales, un tissu associatif riche
et très actif… C’est une situation exceptionnelle et prometteuse.
J’ai toujours défendu l’idée que le maire de cette commune
là devait avoir pour elle une ambition, même peut être une vision d’avenir. Le
maire donne un cap, il a pour mission de créer les conditions optimales du
développement de sa commune, de son intégration dans le futur, il doit
construire pour elle un projet dans lequel le plus grand nombre se retrouve. Il
lui faut prendre de la hauteur, s’appuyer sur son environnement politique,
économique et social, être ouvert à tout et user de toutes opportunités au
bénéfice de ses concitoyens.
Le maire n’est pas directement engagé sur le quotidien. Il
a pour cela un 1er adjoint, des adjoints et des conseillers. Il a seulement
la charge de veiller à la cohérence et à la cohésion des actions qui découlent de
l’impulsion qu’il a donnée.
L’édito-catalogue du « Fargues Information » que
nous venons de recevoir, en bleu de chauffe et le crayon sur l’oreille, est aux
antipodes de ce qu’il faudrait qu’il soit pour peser sur l’avenir.
Je savais ces manques là, je les avais déjà dits. J’avais
raison.
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